45 Rue Poliveau: Elsa Et Johanna

Activité: Restaurant Adresse: 45 Rue Poliveau 75005 Paris Besoin d'aide?

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La société opère en Île-de-France. Consultez plus d'informations sur ET 43 45 RUE POLIVEAU. Où est située ET 43 45 RUE POLIVEAU? L'adresse actuelle de ET 43 45 RUE POLIVEAU est 14 RUE GEOFFROY SAINT HILAIRE, 75005 PARIS 5. Jetez un œil à l'adresse du siège social et aux autres détails de ET 43 45 RUE POLIVEAU. Quand ET 43 45 RUE POLIVEAU a-t-elle été fondée? La date de création de ET 43 45 RUE POLIVEAU est le 2017-06-01. Consultez plus d'informations sur ET 43 45 RUE POLIVEAU.

Origine du nom Corruption de rue du Pont Livaut; ce premier nom lui venait d'un petit pont traversant la Bièvre. Histoire de la rue Cette voie existait en 1243, sous le nom de rue de la Cendrée; elle a été dénommée, au XVIIe siècle, rue des Carrières, rue des Saussaies, rue de la Voirie; plus tard, rue du Pont Livaut, rue Pouliveau ou rue Poliveau. DP 075 105 13 V0050 43 rue Poliveau Déclaration préalable Demande du 01/03/13 Favorable Réponse du 03/05/13 Ravalement du pignon entre le 12 et le 14 rue geoffroy saint-hilaire. PC 075 105 06 V0017 02 Permis de construire Demande du 05/02/09 Réponse du 08/06/09 Travaux en vue du changement partiel de destination des locaux à rez-de-chaussée et sous-sol à usage de commerce en habitation avec déplacement d'une trémie d'escalier à rez-de-chaussée shon à démolir: 2 m². shon créée: 4 m². modificatif aux pc n° 075 005 06 v 0017 délivré le 15-01-2007. PC 075 105 09 V0001 Demande du 07/01/09 Défavorable Réponse du 19/02/09 Transformation de caves au 1er sous-sol en extension d'un local d'habitation avec déplacement d'un escalier.

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Situation et accès [ modifier | modifier le code] Origine du nom [ modifier | modifier le code] Le nom de Poliveau provient de la corruption de « rue du Pont-Livaut », devenu à la fin du XVIII e siècle « rue Ponliveau » puis « rue Poliveau ». Son premier nom lui serait venu d'un petit pont traversant la Bièvre [ 1], [ 2]. Historique [ modifier | modifier le code] Rue Poliveau - plan de Paris d'Ambroise Tardieu - 1839 Le territoire sur lequel a été ouverte cette voie est, selon Jaillot, le Locus Cinerum [ 3] dont il est souvent fait mention dans les actes du XIII e siècle. Si l'on ignore ce que ce nom signifiait, les historiens font plusieurs suppositions: Un lieu chargé autrefois d'habitations qu'un incendie aurait réduit en cendre? Un lieu servant aux incinérations funéraires des Romains? Quoi qu'il en soit, son premier nom connu, en 1243, fut « rue de la Cendrée ». Dans le siècle suivant, on retrouve cette voie de la terre d'Alez, sous le nom de « rue du Pont-Livant » ou « rue du Pont-Livaut » en raison de la construction d'un ponceau jeté sur la Bièvre et qui avait été construit par un certain Livant ou Livaut.
Pour l' amoureux du cinéma que je suis, Paris est un studio à ciel ouvert. Chaque arrondissement, chaque quartier, a son «Atmosphère! Atmosphère! ». Ainsi, il y a encore quelques jours, je me promenais du côté de la Pitié-Salpêtrière (scène finale de «Cléo de 5 à 7») dans une rue du 5 ème arrondissement. Une rue calme, discrète, un tantinet bourgeoise… Rue Poliveau qu'elle s'appelait… Poliveau? Poliveau! Oui, mais c'est bien sûr: nous sommes sous l'Occupation, chez le charcutier Jambier (Louis de Funès), un triste sire qui arrondit ses fins de mois grâce au Marché Noir. Cette nuit-là, Martin, son livreur habituel, craintif et soumis (Bourvil), s'est pointé avec Grandgil, un étrange compagnon, cultivé, cynique et fort en gueule (Jean Gabin). Ils sont là pour prendre livraison du cochon qu'ils doivent convoyer à travers la capitale. Grandgil est bien décidé à faire cracher au bassinet ce Jambier qu'il méprise. GRANDGIL – Dîtes-moi, patron! C'est bien le numéro 45 ici? JAMBIER – Pourquoi me demandez-vous ça?

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Par corruption, elle prit par la suite les noms de « rue Pouliveau » et « rue Poliveau ». En 1380, le petit pont étant dénommé « poncel de la Saussaye », sans doute en raison qu'une grande quantité de saules couvrait le terrain, elle fut appelée « rue de la Saussaye » et « rue de la Saussaie ». Dans un censier de Sainte-Geneviève, de 1646, elle est appelée « rue des Carrières dite de la Cendrée », nom qui fut simplifié par la population, indifféremment par « rue des Carrières » ou « rue de la Cendrée [ 4] ». En 1705, on la nommait « rue des Saussayes » [ 5], en 1706 « des Saussaies », en raison des saules qui bordaient le chemin qu'elle traversait. Durant le XVII e siècle, elle a également été dénommée, « rue des Saussaies » et « rue de la Voirie », car elle menait à une des voiries de Paris avant de reprendre plus tard les noms de « rue du Pont-Livaut », « rue Pouliveau » ou « rue Poliveau ». À la fin du XVIII e siècle, cette voie publique était appelée indifféremment « rue des Saussaies » et « rue de Poliveau ».

Tout y est dit: la tristesse de l'Occupation, les amitiés qui naissent par hasard en temps de guerre, l'humanité profonde qui sommeille chez les porteurs de cochon. La suite après la publicité Le visionnage de cette vidéo est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur de la plate-forme vidéo vers laquelle vous serez dirigé(e). Compte-tenu du refus du dépôt de cookies que vous avez exprimé, afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la lecture de cette vidéo. Si vous souhaitez continuer et lire la vidéo, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Samedi 23 mai à 20h40 sur OCS Géants. Comédie dramatique franco-italienne de Claude Autant-Lara (1956). Avec Jean Gabin, Bourvil, Louis de Funès. 1h20. (En multidiffusion et A la demande).

L'ouvrage à paraître aux éditions H2L2 ne déroge pas à la règle qu'elles se sont fixée, et présente aussi des textes de fiction de jeunes auteurs inspirés par leur univers. Le livre sera tiré à 1000 exemplaires, et pour le commander et soutenir le projet, c'est ici. « First Floor », Beyond the shadows, © Elsa & Johanna Calgary: éponger le territoire Pour la série « Beyond the Shadows », Elsa et Johanna ont choisi comme terrain de jeu Calgary, une ville canadienne plus ou moins entre Vancouver et Winnipeg, c'est-à-dire plus ou moins au milieu de nulle part. « Le Canada nous a tout de suite intéressées, et notamment la ville de Calgary, l'une des plus vastes du territoire, qui était à l'origine une cité de cowboys jusque dans les années 1970. Avec une croissance économique spectaculaire, elle compte aujourd'hui plus d'un million d'habitants », remarquent les artistes. Elles voient dans les aspects territoriaux de la ville, entre hyper modernité, quartiers pavillonnaires, et horizon vallonné, un paysage propice à la création.

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Propos recueillis par Stéphanie Stiernon Johanna et Elsa Lepeu, deux sœurs entrepreneuses qui ont autant de points communs que de différences, me reçoivent avec le sourire pour me parler d'elles, de Zoobeetle, de leur grand-mère, de féminisme, de tatouages, d'empowerment économique et de conseils aux entrepreneuses. Je suis allée à la rencontre de ces femmes parisiennes et globetrotteuses basées à Hong Kong. Concours en fin d'article à ne pas manquer! Qui êtes-vous? Johanna, l'ainée, cherche le mot. Une sororie? Elsa répond qu'elles forment une fratrie car le masculin l'emporte sur le féminin dans la langue française. Johanna rétorque « Encore un exemple parmi tant d'autres ou je ne trouve pas ça normal. Une des raisons pour lesquelles les femmes se battent aujourd'hui ». Le ton est donné et la discussion est lancée. Nous sommes toutes les trois attablées dans leur bureau situé à Sheng Wan et elles m'expliquent dans une jolie complicité comment elles en sont venues à créer Zoobeetle. C'était il y 6 ans à Paris et elles sont arrivées à Hong Kong une année plus tard poussées par l'envie de voyager et d'y retrouver leur frère.

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Johanna Benaïnous (1991) et Elsa Parra(1990) forment un duo d'artistes plasticiennes, photographes et réalisatrices. Elles se sont rencontrées à la School of Visual Art de New York et ont reçu les félicitations du jury des Beaux-Arts de Paris (ENSBA) en 2015. Invitées au Salon de Montrouge en2016, finalistes du prix HSBC et nominées pour la bourse Révélations Emerige la même année, elles sont artistes invitées au Festival Circulation(s) et au Festival Photo Saint-Germain en 2017. Elles remportent le 2e Prix Picto de la Mode 2017, et sont entrées dans les collections du Palais Galliera (Musée de la mode de la Ville de Paris). Une édition des 88 tirages de la série A Couple of Them est acquise par le FMAC (Fonds Municipal d'Art Contemporain) de Paris en 2018. Le MAC/VAL présente leurs œuvres dans le cadre de l'exposition « Lignes de vies, une exposition de légende », en 2019, et, dans la même année, elles sont finalistes du Festival d'Hyères 2019. Elsa & Johanna sont sélectionnées par Osei Bonsu, commissaire d'exposition d'art moderne et contemporain africain à la Tate Modern de Londres, pour participer au Secteur Curiosade Paris Photo 2019 avec un solo show sur le stand de la Galerie La Forest Divonne.

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Les personnages photographiés nous regardent et, fixant l'objectif droit dans les yeux, assument leur statut de sujets: aux jeunes filles dans le métro se succèdent les garçons en tenue de chasseurs parcourant les bois et les lycéennes en vacances. Pourtant, au fil des images, ce répertoire d'histoires et d'identités se trouble. Deux mêmes visages reviennent encore: il s'agit de ceux des deux artistes, qui se transforment en des myriades de personnages. Si les portraits se suivent et ne se ressemblent pas, alternant personnages féminins, masculine, rieurs, boudeurs, blonds ou bruns, il s'agit toujours bien des mêmes figures qui viennent hanter le regardeur. Au-delà de l'exploit de la métamorphose et du jeu de caméléon, ce qui se trame dans leurs images est avant tout le portrait d'une jeunesse. Les photographes, en revêtant les vêtements de leurs personnages, dépassent le déguisement: elles incarnent leurs sujets, dans un travail de la durée qui touche à la performance théâtrale. Pendant des heures, parfois des jours, Johanna Benaïnous et Elsa Parra se mettent dans la peau de leurs personnages: elles ne posent plus, elles deviennent.

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« Cochrane », Beyond the shadows, © Elsa & Johanna La mise en scène comme langage « Nous aimons raconter des histoires. Belles, tristes, irréelles, réalistes, autobiographiques, fictives, esthétiques, banales ». C'est sur ces fondations qu'Elsa Parra et Johanna Benaïnous se rencontrent à New York, en 2014, sur les bancs de la School of Visual Arts. La première vient des Arts Déco de Paris, la seconde des Beaux-Arts. De cette rencontre naît une première collaboration, « A Couple of Them ». Une série d'autoportraits dans laquelle elles incarnent des personnages fictifs, et annoncent sans détours une méthode et un thème récurrents dans leur œuvre: l'art de la mise en scène. « Playground », Beyond the shadows, © Elsa & Johanna « Nous produisons des séries narratives où les sujets d'identité, de genre et de mémoire collective émergent à travers des mises en scène et des personnages que nous créons et incarnons nous-même », soulignent-elles. N'y voyez pas l'influence de Cindy Sherman, mais plutôt celle d'Alfred Hitchcock, David Hockney, ou la dernière série que le duo aurait binge watchée.

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C'est pour ça que ça marche, parce qu'on se laisse de la place. Vous exposez en ce moment au Salon de Montrouge votre série A couple of them. Qu'avez-vous cherché à exprimer avec ce projet photo et vidéo? Johanna: Ce projet est né d'un questionnement sur le rapport à l'autre, auquel on a été confronté très fortement lorsque nous étions dans la peau de nos personnages. On a été regardé par les autres – ce sont des performances photographiques qui peuvent durer 12 heures – et c'est pour ça que ça été fort. On l'a vécu comme eux. Elsa: Il n'est pas question de caricature dans A couple of them. Nous n'avons pas non plus cherché à nous transformer – comme Cindy Sherman par exemple – nous sommes toujours restées au plus proche de notre physique. Nous avions cette envie de justesse. Johanna: Cette série témoigne de notre volonté d'avoir une vraie expérience humaine, en étant à la fois photographes et modèles. Cette expérience, nous avons eu envie de la faire vivre au spectateur. Il s'agit de le confronter à son propre système de projection.

Elsa: C'est un échange permanent. Extrait de « A couple of them » / © Elsa Parra et Johanna Benaïnous Vous ne craignez pas parfois de vous lasser de ce duo? Elsa: Non parce que nous avons beaucoup de lucidité par rapport à notre duo. Surtout, je pense qu'on a la tête sur les épaules toutes les deux. Pour l'instant, on sent que c'est notre force et on a une énergie qui nous pousse tellement! On n'est pas un couple amoureux mais un couple de travail. Cette distance nous fait garder les pieds sur terre. Et puis un duo qui marche, c'est un duo qui se voit beaucoup. C'est le parti pris aussi. C'est une aventure qu'on a choisie toutes les deux. Johanna: Forcément, il y a des moments où l'une est moins motivée que l'autre. Des hauts et des bas quoi. Mais il y a énormément de respect entre nous. Et beaucoup de mesure aussi. Par exemple, travailler avec Elsa m'a appris à ne pas dépasser les limites. Cette relation est trop précieuse. Il n'est pas question de nous, il est avant tout question de création.

Sunday, 19-May-24 17:59:13 UTC